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Stéphanie Renouvin blonde et journaliste
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14 décembre 2007

C'est vous, je vous ai reconnu...

Star Mag du 14/12/2007



Merci à Vuesalatélé pour les caps !

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Commentaires
S
j'aimerai t'écrire<br /> ce que je n'arrive pas a te dire<br /> mais il est impossible pour moi<br /> de faire quoi que ce soit<br /> j'ai plein de mots venant du fond du coeur<br /> pour t'envahir de bonheur<br /> mais sa se resume<br /> a je taime trop
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L
merci stephanie pour ces annés de fraicheur et de dynamisme dans une actualité pas toujours drole tu a choisie une autre voie j'espere qu'elle t'aaportera beaucoup en tout cas j'espere qu'on te verra bientot dans les medias .pascal
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O
The last dream<br /> <br /> <br /> S’il est une heure fortunée<br /> Parmi nos heures d’ici-bas,<br /> Une heure de paix couronnée,<br /> Et de trêve à nos vains débats,<br /> <br /> C’est l’heure, entre toutes bénie,<br /> Où la strophe aux fraîches senteurs,<br /> Pour nous, au vent de l’harmonie,<br /> S’épanouit en vers chanteurs ;<br /> <br /> C’est l’heure où quelque âme inconnue,<br /> Sœur par l’accent et par le luth,<br /> A notre muse inculte et nue<br /> Adresse un fraternel salut ;<br /> <br /> Où des mains que Dieu même inspire,<br /> Nous consolant de tout affront,<br /> Jettent des fleurs sur notre lyre,<br /> Et des lauriers sur notre front.<br /> <br /> <br /> <br /> O fleurs au poétique arôme,<br /> Aumône d’accords et d’encens,<br /> Dont l’haleine enivrante embaume<br /> Les plus intimes de nos sens ;<br /> <br /> Parfums sans prix, voix cadencée,<br /> Lauriers aux rameaux toujours verts,<br /> Strophe pieuse où la pensée<br /> Parle encor plus haut que le vers ;<br /> <br /> Offrande sainte du poète,<br /> Dons vrais du cœur, chants ingénus,<br /> Dans mon humble et pauvre retraite,<br /> Soyez, soyez les bienvenus !<br /> <br /> <br /> <br /> Et toi, toi qui me les envoies,<br /> Ces dons cueillis sur les hauts lieux,<br /> Toi qui fais sur mes sombres voies<br /> Chanter ton vers mélodieux ;<br /> <br /> Barde amour, dont le courage,<br /> Réveillant mon luth endormi,<br /> A traversé ma nuit d’orage<br /> Pour m’apporter tes chants d’amour ;<br /> <br /> Puisse le sort, pour moi sévère,<br /> Clément et facile à tes vœux,<br /> Dans ta course à travers la terre,<br /> Vouloir les choses que tu veux !<br /> <br /> <br /> <br /> As-tu dans ton cœur de jeune femme<br /> Quelque beau rêve aux plis flottants,<br /> Vierge que tout bas ta voix nomme,<br /> Vierge qu’implorent tes trente ans ?<br /> <br /> Blonde et jeune de chevelure,<br /> Vois-tu, dans l’ombre de tes nuits,<br /> Une lumineuse figure<br /> Sourire à tes chastes ennuis ?<br /> <br /> Eh bien, qu’à l’heure où, lente et pâle,<br /> La lune, oiseau mystérieux,<br /> Ouvrant ses deux ailes d’opale,<br /> Prend son vol à travers les cieux ;<br /> <br /> L’onde au mélodieux ramage,<br /> La brise aux murmures sacrés,<br /> Bercent pour toi sa molle image<br /> Sur un nuage aux flancs nacrés ;<br /> <br /> Et que l’ange des doux mensonges<br /> Fasse éclore, dans sa beauté,<br /> Du blanc calice de tes songes,<br /> Une blanche réalité !<br /> <br /> <br /> <br /> Es-tu de ceux qu’un souffle enflamme,<br /> Esprits épars dans l’univers,<br /> Qui portent caché dans leur âme<br /> Le mal de la muse et des vers ;<br /> <br /> De ceux qu’une âpre soif altère,<br /> Et qui, troublés jusqu’au tombeau,<br /> S’en vont inquiets par la terre,<br /> Malades de l’amour du beau ?<br /> <br /> Eh bien, qu’une large harmonie,<br /> Berçant le cours de tes pensers,<br /> Pour en alléger ton génie,<br /> Les roule à flots toujours pressés !<br /> <br /> Qu’aux pieds ombreux des ravinales,<br /> Dans quelque île aux flots caressants,<br /> Ta vie aux brises virginales<br /> S’exhale en lumineux accents !<br /> <br /> Que de son onde au ciel puisée<br /> L’aube, mouillant l’herbe des champs,<br /> Roule ses perles de rosée<br /> Sur la jeunesse de tes chants !<br /> <br /> Que chaque jour, plus riche encore,<br /> Éblouissante ascension,<br /> Sur ton esprit, comme une aurore,<br /> Se lève l’inspiration !<br /> <br /> Qu’enfin sur ta route choisie,<br /> Rencontrant un bonheur rêvé,<br /> Tu trouves dans la poésie<br /> Ce qu’hélas ! je n’ai point trouvé.<br /> <br /> <br /> <br /> Bonheur ! éternelle chimère !<br /> L’homme, jouet d’un sort railleur,<br /> Ne quitte le sein de sa mère<br /> Que pour apprendre la douleur.<br /> <br /> Une expérience fatale,<br /> L’abreuvant de déceptions,<br /> Effeuille pétale à pétale<br /> La fleur de ses illusions.<br /> <br /> Combien d’amis de ma jeunesse<br /> Ont déjà fui de mon chemin !<br /> Leur main, que pressait ma tendresse,<br /> Hélas ! ne presse plus ma main.<br /> <br /> Comme de gais oiseaux qu’assemble<br /> Un même nid dans les buissons,<br /> Par les airs nous allions ensemble,<br /> Unis d’amour et de chansons.<br /> <br /> D’un même arbre branches jumelles,<br /> Nous mêlions nos rameaux aimés ;<br /> Mais la vie aux bises cruelles<br /> De toutes parts nous a semés.<br /> <br /> Les uns, troupe joyeuse et blonde,<br /> Les plus rieurs de ma saison,<br /> Sont partis pour un autre monde,<br /> Avides d’un autre horizon.<br /> <br /> Ceux-ci, vains oiseaux de passage,<br /> Oubliant leurs jours de frimas,<br /> Ont changé d’âme et de visage,<br /> Hélas ! en changeant de climats.<br /> <br /> Ceux-là, groupe stérile et louche,<br /> Renégats au cœur sec et mort,<br /> Unissent leur bouche à la bouche<br /> Qui ment, qui calomnie et mord !<br /> <br /> Et pourtant leur voix qui m’accuse<br /> Devrait plutôt sur moi gémir !<br /> Pourtant ce qu’a flétri la Muse,<br /> Tout noble cœur doit le flétrir !<br /> <br /> Nègres, mes frères ! peuple esclave !<br /> J’ai vu votre joug détesté,<br /> Et de mon corps, bouillante lave,<br /> A jailli mon vers irrité !<br /> <br /> Non ! votre mal n’est pas un thème<br /> A moduler de vains concerts !<br /> Ma lèvre a connu l’anathème,<br /> Car ma main a pesé vos fers !<br /> <br /> De ceux-la que votre souffrance<br /> Avait émus en d’autres jours,<br /> J’espérais... candide espérance !<br /> A ma voix ils sont restés sourds !<br /> <br /> Plongés dans un sommeil de pierre,<br /> Lorsque vint l’heure des combats,<br /> L’un a renié comme Pierre,<br /> L’autre a trahi comme Judas.<br /> <br /> Est-ce impuissance, orgueil, envie ?<br /> Dieu le sait ! - mais mon cœur est las ;<br /> Et sur les ronces de la vie<br /> Je tombe, enfin ! je saigne, hélas !<br /> <br /> Ainsi partout deuil et tristesse !<br /> L’homme, d’espoir découronné,<br /> Au mont désert de la vieillesse,<br /> Marche des siens abandonné.<br /> <br /> Étouffons donc notre délire,<br /> Et laissons nos pleurs seuls parler !<br /> Il est des douleurs que la lyre<br /> Est impuissante à consoler !<br /> <br /> <br /> <br /> Mais pourquoi d’un triste nuage<br /> Assombrir l’azur de ton ciel ?<br /> Pourquoi, dégoûté du breuvage,<br /> Mêler mon absinthe à ton miel ?<br /> <br /> Sauve du doute qui m’assiège<br /> Ton avril au rêve enchanté ;<br /> Lys, garde ta robe de neige !<br /> Cygne, ton plumage argenté !<br /> <br /> De ta foi n’éteins pas les flammes ;<br /> Aime et chante au milieu des pleurs :<br /> Le chant est le parfum des âmes !<br /> L’amour est le parfum des cœurs !<br /> <br /> Il est vrai, nos tiges sont nées<br /> Dans les gazons d’un sol pareil ;<br /> Mais, ami ! sur nos destinées<br /> Ne luit pas un même soleil.<br /> <br /> Un même rocher vert de mousse<br /> De son onde allaita nos jours ;<br /> Mais ton eau chante, heureuse et douce,<br /> La mienne gémit dans son cours.<br /> <br /> Sur des mers où l’aube étincelle,<br /> Ta muse aux fraîches visions<br /> Monte une odorante nacelle<br /> Où rament les illusions ;<br /> <br /> La mienne au choc des vents contraires<br /> Soutient la lutte du devoir,<br /> Car ma nef d’un peuple de frères<br /> Porte la fortune et l’espoir.<br /> <br /> Toi, tu vois sur de blanches grèves<br /> Des bords aimés poindre et fleurir ;<br /> Moi, je vois, par delà mes rêves,<br /> Nos libertés à conquérir !<br /> <br /> Donc sur leurs routes opposées<br /> Laissons voguer nos deux esquifs :<br /> A toi les ondes apaisées !<br /> A moi la vague aux noirs récifs !<br /> <br /> <br /> <br /> Mais si jamais, pour les tempêtes<br /> Désertant de paisibles bords,<br /> Tu voulais, rêvant nos conquêtes,<br /> Dans mes eaux risquer tes sabords ;<br /> <br /> Si, bravant les fureurs sauvages<br /> Du présent contre l’avenir,<br /> Pour tenter les mêmes rivages,<br /> Tes mâts aux miens voulaient s’unir ;<br /> <br /> Fendant la vague échevelée<br /> Qui me roule dans ses brouillards,<br /> Viens avec moi, dans la mêlée,<br /> Affronter les mêmes hasards ;<br /> <br /> Et dans nos barques fraternelles,<br /> Sous l’œil de Dieu, couple indompté,<br /> Nageons de la rame et des ailes<br /> Vers les mers de la Liberté !<br /> <br /> Meme si des fois je m'evade <br /> je ne vie rien que pour elle Stephanie RENOUVIN!<br /> <br /> ps:pou jiss on momen aver jiss on momen epir<br /> mwen envi jiss envi passé on momen aver<br /> sentimental ca trè normal mwen ka vibré mi sensation<br /> passion en silence vibré en kadence misike sidéral stephanie femme fenomenal<br /> sentimental ca tres normal mwen ka vibré plein emotion
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Stéphanie Renouvin blonde et journaliste
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